Qui est-tu pour oser venir sur mon territoire ?!(PV Laart)

Je me réveilla dès l'aurore comme chaque jour d'ailleurs... Le soir d'avant, j'avais senti l'odeur d'un loup qui n'était pas de mon clan... Je serra les dents et émis un grognement en me rappelant de sa... J'enrageais ! Comment avait-on osé s'introduire sur mon territoire ?! S'il revenait, je lui trancherais la gorge pour avoir osé faire sa ! Je sorti du camp pour aller un peu chasser... Sa ne ferait de mal à personne et encore moins à moi. Je regardais les bois puis décida finalement d'aller à la falaise... La-bas, je pourrais me défoulé et personne ne viendrais m'embêter ! Mais quand j'arrivai, ce fut une autre surprise. Une louve se tenait là. Je me mis à grogner et lui sauta dessus la fessant tombé à la renverse.

-Comment ose-tu t'introduire sur mon territoire espèce de bâtarde ?!

Et oui, tout ceux qui n'étais pas né dans mon clan était comme des bâtards pour moi qui se fessait passé pour des loups ! Je reconnu bien vite Laart ce qui me mis encore plus en colère.

-J'espère que tu a une bonne raison Laart si tu ne veux pas que je te tort le cou !

J'avais une fois de plus envie d'être seule. J'étais parti du camp avant l'aube, et je marche, ne fesant plus attention à ce qui m'entoure. Sans me soucier des frontières, je ne pense plus à rien. J'arrive à l'orée de la forêt. Les falaises ! Je suis sur le territoire du clan de la terre. Loin de moi l'idée de perturber les relations déjà tendu des clans, mais j'aime cet endroit. Je m'assoie au bord du précipice, un goufre énorme près à vous aspirer dans les profondeur de la terre. "Qu'est-ce que ça fait de sauter, de mourir ?"
Je dresse les oreilles. Un autre loup est là, mais je ne sens pas son odeur, le vent me fouette le visage. J'entend un sifflement, et me retrouve à terre. Je ne réagit pas.

-Comment ose-tu t'introduire sur mon territoire espèce de bâtarde ?!

Je ne répond pas car il recomence à parler.

-J'espère que tu a une bonne raison Laart si tu ne veux pas que je te tort le cou !

Je soutien son regard lourd de haine et de colère. Et je répond calmement, d'un ton neutre, mais presque glacial.

-Et bien, de toute façon, mes excuses et mes raisons ne te suffiront pas. Si tu veu vraiment savoir, j'avais l'intention d'être un peu seule. Le besoin d'être seule.

-Et bien, de toute façon, mes excuses et mes raisons ne te suffiront pas. Si tu veut vraiment savoir, j'avais l'intention d'être un peu seule. Le besoin d'être seule.

J'émis un grognement montrant ma colère. Mes crocs claquaient devant sa tête. Je m'éloigna un peu avant de me retourner brutalement et de regardé la louve qui était à terre.

-Espèce de menteuse ! Avoue que tu convoite les falaises ! Tu veux me les voler ?! Je te tuerais avant sa ! Ou bien peut être que tu essayais d'espionner mon clan !

Je me retenais de ne pas lui sautais dessus... Le vent souffler très fort ici. Une rafale failli me faire tomber mais je n'en laissa rien paraitre ! Je ne la quittait pas des yeux... A l'époque j'éprouvais une étrange attirance pour la louve mais maintenant il n'y avait que de la haine entre elle et moi... Pourquoi ? Je ne sais pas ! Depuis que j'étais devenu chef, je détestais les autres chefs et elle y comprit ! J'émis un autre grognement.

-Pourquoi être venu sur mon territoire et non pas un endroit isolé du tien ?!

Ses machoires claquant devant mon museau me donnèrent un coup au coeur. Des sanglots montèrent dans ma gorge. Et je restais à terre. Ne pouvant me relever.

-Espèce de menteuse ! Avoue que tu convoite les falaises ! Tu veux me les voler ?! Je te tuerais avant sa ! Ou bien peut être que tu essayais d'espionner mon clan !

Oui. Je convoite les falaises. Mais pas pour mon clan. Mon coeur convoite ces falaises.

-Pourquoi être venu sur mon territoire et non pas un endroit isolé du tien ?!

Quelle question ?! J'aime cet endroit, ce vent semblant vouloir m'emporter, cet impression de tomber à chaque bourasque. Ce bruit continu, vidant l'esprit. Cette lente litanie, comme une berceuse. Une goutte de pluie tombe à terre, explose contre la surface froide de la roche, pareil à une larme. Mon apparance de jeune chef sévère et invicible font comme neige au soleil.

Et bien...tue moi, vas-y...